research

"recherche & développement
/ research & development


Giorgio Agamben, mars 2011

‎"aujourd'hui, on va essayer d'analyser une pratique, des pratiques qui se développent dans la vie monastique, qui, on va le voir, concernent, touchent de près, les pratiques, ou certaines pratiques de l'art contemporain…"


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"Lacoue tue Badiou

Mehdi Belhaj Kacem vient de publier un livre qui emprunte à Badiou le concept d’ «Inesthétique» mais pour le rabattre sur une autre notion importante, celle de Lacoue-Labarthe relativement à la « mimèsis ». Et, ce faisant, on sent glisser les deux lignes d’un double détournement, comme on détournerait de leur destination des convois de fonds sur leur trajectoire, en perturbant le cours de leur enchaînement. Détournement d’un convoitage dont l’accouplement, çà et là, sera proprement retournant, faisant exploser la généralité des genres que Badiou proposait à la philosophie, tout en mettant sans dessus-dessous la manière dont la « mimèsis » nous permettait de représenter les choses. Et cela ne se fera pas sans tisser pour nous, pour notre temps, les postures, mais encore les masques qui nous font tenir debout devant la Terreur du vide, moyennant un système de représentation qui vient de très loin. Un « tenir debout » héroïque qui fait trembler l’Histoire depuis les Grecs au moins pour autant que la « tenue » définit notre « substance » quand bien même toute stèle serait tombée. « Inesthétique » donc ! Nous sommes passés à l’âge noir d’une inesthétique, avec sa magie, son mode de communication de masse, d’envoutement généralisé par une diffusion portée à la rue, jusque dans la gloire du téléphone portable qui fait du moindre geste l’événement d’un jour, le témoin d’un méfait porté aux nues. « L’inesthétique » n’est pas étrangère, on s’en doutera, à cette ruée de la rue. Et ce mot possède du reste un sens premier, avant toute élaboration philosophique : celui de la laideur, de la difformité qui caractérisent notre temps et dont il est impossible de ne pas percevoir la figure du mal mise en exergue par la littérature, la peinture et la musique, détonante avant d’être atonale. ...”

article intégral (publié le 24.08.2010)



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Table Ronde "Le son dans l'art Contemporain"

"Samedi 11 avril 2009
en présence de Dominique PETITGAND, Paul-Emmanuel ODIN, Jean-Paul PONTHOT et François PARRA (École Supérieure d’Art d’Aix-en-Provence), Peter SINCLAIR (Locus Sonus) et Pierre-Emmanuel REVIRON (Seconde Nature)"


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Art Contemporian: le concept, par Samuel Zarka


Samuel Zarka revient sur la démarche de son livre : proposer une histoire de l'art contemporain... selon la lutte de classes.

"L’art contemporain doit être interrogé dans sa logique globale, au-delà de la pluralité de ses productions. Il peut ainsi être envisagé comme un style artistique homogène, dont les déclinaisons s’effectuent sur un fonds mythologique, qui ne saurait être compris indépendamment des transformations sociales et culturelles des sociétés dans lesquelles il s’inscrit."
[4ème de couv.] "

voir aussi / see also: “ingénierie du symbolique




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Francine Guillou et Thomas Lapointe:
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mars / march 2011, article intégral / full paper





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Cédric Loire:







mars / march 2011, article intégral / full paper









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